Rencontre avec Tania Distler, candidate au doctorat

Tania a grandi dans un petit village du nord de l’Allemagne. Après le lycée, elle n’était pas encore décidée sur la voie à suivre et s’est donc rendue en Nouvelle-Zélande pour une année sabbatique.

Cette expérience lui a appris à ne pas avoir peur de sortir de sa zone de confort et a éveillé son goût pour les voyages et la découverte d’autres cultures.

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Une fois rentrée en Allemagne, elle a commencé ses études de premier cycle en biotechnologie moléculaire à l’université de Heidelberg. Pendant cette période, elle s’est intéressée de près à la recherche sur les cellules souches et à l’étude de la formation et de la régénération des tissus. Elle a donc décidé de s’inscrire au programme de master en biologie et médecine régénératives à l’université technique de Dresde. Après avoir obtenu sa maîtrise en sciences, et parce qu’elle n’avait connu que le monde universitaire, Tania était curieuse de travailler dans l’industrie et a effectué un stage d’un an dans le domaine de la recherche et du développement au sein d’une société pharmaceutique. Cette expérience l’a confortée dans sa décision de chercher un poste de docteur dans un domaine lié aux soins de santé.

Tania s’est vu proposer un projet de doctorat dans le laboratoire du professeur Alexandre Persat au Global Health Institute de l’EPFL, elle a donc fait ses valises et est partie commencer ses études doctorales à Lausanne. Tania se sent chanceuse de travailler sur ce projet de doctorat, qui lui permet d’appliquer ses connaissances en biologie tissulaire au problème concret de la résistance aux antimicrobiens. Pendant son temps libre, elle aime les activités de plein air, en particulier la randonnée et le ski dans les Alpes suisses.

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